Le rapport « Making Embedded Banking work » traite de l’avènement de la finance embarquée. Réalisé par la branche conseil en technologies financières du groupe 11:FS spécialisé dans les services financiers, en association avec Infosys Finacle, un des leaders mondiaux des solutions bancaires digitales, il met en lumière des pistes d’action pour réussir l’intégration des services financiers à grande échelle au sein d’une entreprise. Les points de vue des experts de la finance embarquée y sont mentionnés.

À ce titre, Laure Boutron, Directrice Marketing & Communication de Treezor, nous partage son analyse  en révélant que les FinTechs et corporates, les prestataires technologiques de services financiers et le régulateur doivent collaborer étroitement afin que le modèle de la finance embarquée soit couronnée de succès. C’est ainsi que pourront émerger de nouvelles propositions de valeur et des parcours clients innovants.

“Chez Treezor, nous sommes au cœur de la finance embarquée et portons sa proposition de valeur dans notre ADN. Nous collaborons avec l’ensemble des acteurs de l’écosystème. Nous devons à la fois répondre aux besoins de nos clients Fintechs & entreprises, nous adapter aux impératifs de nos partenaires et également nous conformer aux obligations réglementaires. ” indique Laure Boutron.

 

L’une des grandes promesses de la finance embarquée consiste à proposer des services bancaires via des APIs. Cela permet d’accorder à l’entreprise concernée l’accès et le traitement des données clients, en temps réel, afin de personnaliser ses offres. Or, le partage des données n’est pas toujours simple puisqu’il est régi par des réglementations strictes telles que le règlement général européen sur la protection des données (GDPR ou RGPD en français).

Concernant la gestion des données chez Treezor, Laure Boutron est formelle : “Chez Treezor, en tant qu’Établissement de Monnaie Électronique (EME), nous avons mis en place des procédures afin de pouvoir s’assurer de la conformité des données financières de nos clients à des fins de reporting financier (LCB-FT) auprès des régulateurs. Nous collectons et analysons un certain nombre de données afin d’écarter toute tentative d’activité de blanchiment d’argent ou de financement du terrorisme. Et le fait d’être sous l’égide d’un grand groupe bancaire international tel que le groupe Société Générale nous permet d’assurer un niveau de conformité de premier ordre.” Enfin, Laure Boutron rappelle que “le succès de nos partenaires est aussi le succès de Treezor”.

Le modèle de Treezor repose avant tout sur la réussite de ses clients, qu’elle qualifie d’ailleurs de partenaires. En effet, plus le volume de leurs activités croissent, plus les volumes de transactions augmentent. Cela représente un modèle gagnant-gagnant porté par le partage des revenus qui en découlent.

Vous souhaitez développer votre projet de paiement ? Nos experts reviendront vers vous dans les meilleurs délais !
Contactez-nous !